Publié dans Société

Lutte contre le Covid-19 - Le groupe Filatex offre 13 tonnes de riz aux gens démunis

Publié le lundi, 13 avril 2020


Depuis plus de 40 ans, le groupe Filatex s’active pour assurer le développement de Madagascar, d’autant plus qu’il est actuellement conscient des problèmes rencontrés par la population malagasy en cette période exceptionnelle de confinement. Ces difficultés se remarquent notamment dans le domaine alimentaire. Il s’avère que la mise en œuvre des mesures de confinement pour lutter contre la propagation du Covid-19 empêche bon nombre de gens de travailler. Pour cette raison, le groupe Filatex n’a pas hésité à appuyer le Gouvernement et la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) pour renforcer les actions de soutien de l’Etat, axées sur la distribution de vivres dont les principaux bénéficiaires sont les plus démunis.
En collaboration avec le centre INISMA, plus de 13 tonnes de riz a été distribué aux habitants de quelques quartiers défavorisés de la Capitale, à savoir Antohomadinika, Andranomahery, Ankadimbahoaka. En outre, la CUA a été également dotée de 2,5 tonnes de cet aliment de base. A cela s’ajoutent 20 cartons de macaroni et 80 litres d’huile.
Rappelons que depuis le 9 avril dernier et jusqu’à la fin du confinement, ce groupe s’engage à fournir quotidiennement plus de 1 000 repas gratuits aux gens défavorisés résidant dans le quartier d’Ankasina 67Ha.
Recueillis par K.R.

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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